Cette semaine, nous vous invitons à découvrir un nouveau soin : la madérothérapie ! Si on prend l’étymologie du mot, on retrouve « madère », qui signifie « bois ». On peut donc très vite imaginer à quoi on à affaire : une technique de massage qui utilise les bienfaits du bois !
La madérothérapie en quelques mots
La madérothérapie, c’est un soin relaxant complet. Eh oui, on peut le réaliser sur tout le corps, visage compris ! Dans les faits, vous pourrez constater que plusieurs rouleaux en bois sont utilisés selon les endroits du corps, pour solliciter différentes sensations et pour de nombreux bienfaits sur l’organisme. Tout au long de la procédure, il n’y a aucun contact peau à peau entre le client et le masseur : c’est ce qui fait la particularité de ce soin !
Nous vous laissons en compagnie de P’Osez pour en découvrir un peu plus sur les rouleaux utilisés lors de ce massage !
Les bienfaits de la madérothérapie
La madérothérapie peut vous offrir de nombreux bénéfices !
Le premier, c’est la réduction de la cellulite. le massage permet en effet de raffermir et de tonifier pour éviter l’effet peau d’orange. Cependant, ce n’est pas tout ! La madérothérapie a également pour effet de brûler les graisses. De même, le mouvement des rouleaux en bois permet une meilleure circulation du système lymphatique et sanguin.
Sur le visage, vous verrez une réduction visible des rides, grâce à la stimulation de la production de collagène et d’élastine.
Le mieux ? Tout cela est possible grâce à une solution 100% naturelle et non-invasive !
Les contre-indications à la madérothérapie
Puisque ce soin est naturel, peu de contre-indications sont recensées. On y retrouve entre autre les problèmes de peau où les frottements sont déconseillés ; irritation, eczéma, brûlure, oedèmes, gonflement, dermatite… De même, on déconseille ce massage en cas de thrombose, insuffisance rénale ou de problème cardiaque.
Ce soin est également déconseillé pour les femmes enceintes ou allaitantes.
Ca y est, l’hiver arrive à sa fin et on voit le soleil faire timidement son grand retour. Eh oui : ses rayons vont venir chasser la dépression saisonnière qui touchent une partie significative de la population. Mais comment cela se fait ? Et comment faire pour luter contre le manque de soleil en hiver ? Grâce à la luminothérapie, bien sûr !
La lumière, un besoin comme l’eau ou l’air
Le soleil, ça ne sert pas qu’à bronzer ! En effet, il y a toute une partie de la biologie qui s’intéresse à cette étoile pour en étudier les bienfaits sur l’organisme. L’observation principale que ces scientifiques ont réalisé ? Tout simplement que le soleil a une influence énorme sur l’humeur. Vous voulez savoir comment cela se passe ? On vous explique tout !
Déjà, il faut savoir que tout se passe dans le regard. Eh oui : les yeux sont les seuls récepteurs de lumière que notre corps possède à sa disposition. Ceux-ci captent donc les rayons du soleil, et « informent » le cerveau de ce qu’ils voient. En réaction, le cerveau va produire l’hormone qui sert à la régulation de l’humeur et à celle de l’horloge interne : la sérotonine. On a donc un meilleur contrôle sur ce que l’on ressent tout en dormant mieux grâce à un meilleur rythme journalier. Et puisque le sommeil (ou son absence) a un rôle prépondérant sur l’humeur… Disons juste que le cercle vertueux mis en place est un énorme bonus pour notre santé mentale !
Du coup, en hiver, en plus d’avoir moins d’hormones régulatrices, le manque de lumière solaire induit le cerveau en erreur. En effet, Qui dit absence de lumière, dit nuit… non ? Le cerveau produit donc de la mélatonine, qui est l’hormone du sommeil. On comprend mieux pourquoi on est plus facilement fatigué l’hiver. Et pourquoi les troubles de l’humeur et les dépressions sont plus nombreux.
La luminothérapie à la rescousse
Pour combler ce manque de lumière naturel, on peut avoir recours à la lumière artificielle : c’est la luminothérapie. Conçue pour se rapprocher le plus possible de la lumière naturelle, les appareils professionnels offrent des résultats concrets sur votre humeur pendant l’hiver et vous aide à vous sentir moins fatigués.
D’ailleurs, le saviez-vous : le concept en lui-même est vieux puisqu’il date du 19e siècle. Il a même reçu un prix Nobel grâce à son effet renforçateur sur le système immunitaire. Son usage actuel date de 1984. C’est un psychiatre qui le sort des placards pour lutter contre la dépression hivernale. Pour les plus prudents, il est intéressant de relever que les appareils actuels ne diffusent pas d’UV et ne sont donc pas nocifs pour la santé.
En fait, c’est tellement efficace, que cela est reconnu depuis les années 2000, et que certaines mutuelles belges, comme Partenamut par exemple, remboursent les frais de la luminothérapie en cas de burnout.
Les domaines d’application de la luminothérapie
La dépression saisonnière n’est pas la seule maladie qui peut être traitée par la luminothérapie. Voici, dans cette liste non-exhaustive, ses autres applications :
En premier, on retrouve les troubles du sommeil. Puisqu’on stimule la production de sérotonine et de mélatonine, on rééquilibre l’horloge interne. On profite ainsi d’un sommeil de meilleur qualité.
Ensuite, on retrouve les troubles dus au travail de nuit ou aux voyages fréquents avec fuseaux horaires différents. Ce n’est pas une maladie, mais cela entre quand même dans le moule puisque la luminothérapie offre des bénéfices concrets dans ces situations. En effet, on augmente significativement la qualité de vie !
La fatigue chronique induite par des maladies peut aussi être combattue, en suivant le même principe que pour les troubles du sommeil.
Plus étonnement, les malades de Parkinson ou d’Alzheimer peuvent également bénéficier de ce procédé.
Les maladies cutanées aussi peuvent être traitées par la luminothérapie : puisque celles-ci sont souvent induites par un état psychologique, cela fonctionne grâce à la régulation des humeurs.
Enfin, on note que c’est également utile dans le cas des sevrages. Le tabac ou l’alcool sont des fléaux, mais la lumière est un remède universel !
Notez cependant que si les effets négatifs sont moindres voir inexistants, certaines pathologies réagissent mal avec la luminothérapie. C’est notamment le cas de la bipolarité, car l’exposition à la lumière peut induire des phases maniaques chez le patient.
Convaincus par les bienfaits de la luminothérapie ? Contactez l’un des centres esthétiques proposant ce service pour prendre un rendez-vous !
On vous parlait la semaine dernière de la manière de procéder pour appliquer du vernis à ongles professionnellement. Il est donc maintenant temps de mettre en avant les tendances vernis à ongles pour rendre le choix chez l’esthéticienne plus aisé !
Le gradient toujours au top
Le gradient est présent sur les ongles depuis un petit temps maintenant, mais il a toujours la côte ! C’est pour cela que vous pourrez voir toujours plus de monde adorner des ongles de couleurs différentes. Cependant, attention ! Il y a une logique derrière toutes les teintes choisies. En effet, pour que cela soit un vrai gradient, il faut que les couleurs soient progressives, c’est à dire qu’elles suivent un certain ordre. Foncé à clair, vert à bleu, on peut comparer le gradient avec un nuancier qui reprend les différentes teintes d’une couleur.
Ce qui fait son charme ? Le peps apporté sans effort à la manucure, qui permet de changer de l’ordinaire sans pour autant devoir avoir des compétences inouïes en Nail Art. En 2021, c’est donc une tendance à suivre à tout prix si vous aimez l’originalité et la simplicité.
La French améliorée
Ah, la classique French manicure ! Impossible de passer à côté, toujours maintenant, et sûrement pour encore longtemps. Eh oui, puisque le style reprend la structure basique de l’ongle en l’améliorant, on est certain de ne jamais se tromper. Workday outfit, mariage ou casual, la French va avec tout et tout va avec la French !
Cependant, le classique a ses limites et c’est pourquoi on voit de plus en plus de dérives, pour le plus grand plaisir de nos yeux !
De ce fait, la première amélioration que l’on peut retrouver est la French améliorée : à la place de choisir le blanc classique, on opte pour une ou plusieurs couleurs. Bleu, vert, rose, brun, rouge… tout est permis : même le gradient ou l’arc-en-ciel si c’est ce que vous avez envie de faire !
La « reverse manicure »
Outre la French améliorée qu’on vient de voir, il y a une autre tendance que l’on peut retrouver : la French inversée ! Au lieu de colorer la pointe de l’ongle, on s’occupe de la lunule (l’ovale à la base de l’ongle qui n’est pas colorée de la même façon que le reste de l’ongle), en suivant son dessin. A l’opposé, on peut aussi vernir tout l’ongle, sauf la lunule. Bien sûr, ici aussi le blanc n’est pas la seule couleur admise ! On peut bien entendu jouer avec les couleurs pour donner de la vie à la manucure.
Les couleurs de l’année pour les ongles
Si les Nail Arts ne sont pas votre tasse de thé, vous pouvez toujours opter pour la simplicité en faisant une couleur unique. Autre possibilité, l’annuaire ou le pouce peuvent être peints dans une couleur différentes pour donner une touche d’originalité sans que cela ne fasse trop.
Pour cela, cette année, les couleurs phares que vous retrouverez en abondance dans les magasins de vêtements sont le jaune et le gris. Il sera donc intéressant de matcher ses ongles en s’inspirant de ces deux teintes pour confectionner des manucures du tonnerre ! On imagine déjà les pépites qui vont inonder Pinterest grâce à ces deux tons complémentaires.
Et voilà ! Vous savez tout ce qu’il y a à savoir sur les tendances ongles 2021 ! Nous avons hâte de voir comment vous allez sublimer vos mains cette année !
Une apparence soignée passe par des mains bien entretenue ! En effet, dans la vie privée comme dans la vie professionnelle, les mains sont souvent l’une des premières choses que nous regardons chez une personne. On les serre lorsque l’on se dit bonjour, on les utilise lorsque l’on parle pour appuyer les propos, on s’en sert pour montrer des papiers ou des objets… Vous l’aurez compris, une grande partie de la communication passe par là. Et pour en prendre soin, rien de mieux qu’une manucure professionnelle ! Arrêtons nous un instant sur la procédure pour la pose de verni semi-permanent
La préparation des ongles
Avant de commencer à appliquer le verni, il faut préparer les ongles ! En effet, on ne peut pas se lancer à l’aveugle dans la peinte des ongles car le résultat ne serait pas optimal et la manucure durerait moins longtemps.
Ainsi, la première étape est de s’occuper de la peau autour des ongles. Les cuticules, c’est-à-dire la peau qui revient sur la base de l’ongle, vont être repoussés à l’aide d’un outil spécial. Une fois en décollés, ils peuvent être poncés ou simplement coupés à la pince coupante. Lorsque l’on le fait soi-même, il faut faire attention à ne pas trop couper pour ne pas se blesser et provoquer un saignement. Evidemment, bien exécutée, la procédure n’est pas douloureuse.
L’utilité de cette pratique est que cela permettra à l’esthéticienne d’appliquer le verni au plus près de la base de l’ongle, et donc de minimiser les repousses. Cela permet également de former la base de l’ongle pour que l’arrondi soit symétrique.
Ensuite, l’esthéticienne va préparer l’ongle en lui-même. Elle le limera donc pour lui donner la longueur et la forme souhaitée ; ovale, en amande, carrée, stiletto, squoval, ou encore ballerine… A vous de choisir la forme qui vous convient le mieux. Bien sûr, si la longueur de votre ongle naturel n’est pas suffisante à votre goût, il est toujours possible de placer des faux-ongles.
L’avant dernière étape consiste à limer légèrement toute la surface de l’ongle. Cela permet au verni de mieux tenir grâce aux aspérités ainsi créées.
Enfin, on termine par dégraisser la surface qui va accueillir le verni. Pour cela, on trempe le doigt dans le dissolvant, ou on passe une lingette imbibée du produit. C’est une action deux en un puisque le dissolvant enlèvera également les poussières déposées par le limage de l’étape précédente. Une fois les ongles dégraissés, il est important que vous ne touchiez plus ni vos cheveux ni votre visage.
L’application du verni
Ca y est ! On peut enfin passer à la pose du verni en elle-même. Pour cela, rien de bien compliqué. En fait, le choix de la couleur est sûrement ce qui est le plus difficile !
La première étape est simple : il faut appliquer une fine couche de verni sur l’ongle, en partant toujours de la base de l’ongle vers la pointe. Typiquement, cette couche n’est pas opaque, mais pas de panique : c’est tout à fait normal !
Une fois la première couche finie, l’esthéticienne vous invitera à laisser votre main sous la lampe à LED ou à UV pendant 30 secondes ou une minute. Le verni pourra ainsi sécher et la deuxième couche pourra être appliquée. Celle-ci sera plus épaisse pour être opaque. Comme pour la première couche, on commencera toujours par la base de l’ongle et on l’étalera jusqu’à la pointe, en veillant bien à couvrir les côtés de l’ongle. Si ce dernier est assez long, on pourra terminer le geste en passant le pinceau sur la largeur du bout de l’ongle. Cela permet au verni de mieux tenir.
Pour clôturer tout cela, la main devra une nouvelle fois passer sous la lampe.
La durée de la manucure
Le verni semi-permanent possède une durée de vie assez respectable. En effet, vous pourrez profiter de votre manucure pendant environ deux semaines. Bien sûr, ceci est une moyenne : certaines personnes arriveront à la garder trois semaines pendant que d’autres devront l’enlever après une. Cela dépend des ongles, mais aussi des activités réalisées. Par exemple, si vous travaillez avec de l’eau ou avec des produits d’entretien à longueur de journée, votre verni risque de s’effriter plus rapidement.